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Pourquoi révolutionner l’éducation ?

Nous vivons dans une ère numérique : des activités aux services, tout se transforme et évolue à une vitesse phénoménale. Sauf l’éducation. Ne devrait-elle pourtant pas en être le premier bénéficiaire ?
Le décalage entre l’Education Nationale et la société

L’éducation c’est l’échange. Un échange auquel le numérique a donné un nouveau sens… Mais notre système éducatif n’a pas su l’exploiter.

Pourquoi nous ne croyons plus aux cours particuliers classiques ?

Des progrès trop lents malgré le temps et l’argent investis ? Notre expérience nous a fait comprendre pourquoi.

Répondre aux enjeux de notre époque !

Parce que l’évolution de la société n’attendra pas l’éducation, nous devons apporter une aide qui répond aux problématiques de notre temps.

Le décalage entre l'Education Nationale et la société

L’éducation, c’est l’échange

Education provient du latin ex-ducere qui signifie guider, conduire hors. Le sens original du mot prouve que nous l’avons déformé au cours du temps. Dans cette étymologie, il existe bien cette notion d’échange : guider, cela ne signifie pas imposer. Guider c’est proposer, partager mais l’avis de l’élève doit pouvoir être entendu. Nous mettons ici en évidence l’importance du dialogue.

Le dialogue permet de mettre les élèves au cœur de leur éducation. Il les rend acteurs et non pas spectateurs. Ainsi, il les responsabilise et permet de construire la maturité qui fera d’eux des adultes. Nous estimons qu’une majeure partie de nos problèmes de société actuels sont dus à cet échec de responsabilisation des nouvelles générations. Et cet échec, nous le devons en grande partie à notre Education Nationale..

Les classes saturées

Les classes surchargées ne permettent pas la mise en place du dialogue : soit parce qu’elles génèrent le chaos soit parce qu’elles obligent les professeurs à être autoritaires… Une autorité qui détruit systématiquement le dialogue et donne au cours une image de contrainte.

Absence de suivi personnel

Chez Synapse, nous parlons de fatalisme orientatif. Aujourd’hui un conseiller pédagogique prétend pouvoir aider un élève avec un rendez-vous de 30 minutes. Au cours de ces rendez-vous, il est régulièrement dit aux élèves : faites ce métier, choisissez cette voie, ce sont les secteurs de demain comme si tous les élèves étaient identiques et avaient les mêmes aspirations. Cela va à l’encontre même de l’évolution de notre société qui donne la part belle aux méthodes de développement personnel et de connaissance de soi qui germent sur les réseaux sociaux et dans le milieu professionnel. En vérité, le système éducatif actuel ne permet pas un suivi personnel des élèves… Et cela ne semble pas prêt de s’améliorer.

Un décalage générationnel

Aujourd’hui, quasiment tous les élèves ont des smartphones qu’ils maîtrisent parfaitement. Les nouvelles générations vivent avec une notion de temps, de mises à jour et d’évolution qui n’existait pas à l’époque où leurs professeurs étaient formés. S’ensuit forcément un décalage entre la société dont les nouvelles générations sont parfaitement le reflet, et notre Education Nationale qui paraît plus austère que jamais. Les professeurs sont eux-mêmes dépassés par l’évolution. La majeure partie ne comprend pas les réseaux sociaux, ne sait pas s’en servir et ne comprend pas l’intérêt pour Snapchat, Instagram ou autre. Pourtant, ce sont des outils que la jeune génération maîtrise et utilise au quotidien avec plaisir. Ce ne sont plus seulement leur passe temps mais cela fait partie de leurs activités principales.

Le manque d’instantanéité et de liberté que le numérique incarne dans notre société

Le numérique leur apporte la liberté qu’il est capable d’offrir, le tout dans l’instantané que notre société met toujours en avant. Il est source de divertissement mais aussi de dialogue et de savoir. Ce que l’Education Nationale devrait incarner. En attendant, les cours prennent l’allure d’un passage forcé où les élèves doivent s’asseoir, doivent se taire, doivent écouter, doivent faire leurs exercices et doivent réussir leurs contrôles. Il y a cette notion de devoir omniprésente qui rend l’éducation contraignante. Alors, dans la cour, chez eux, ils peuvent se remettre à ce qui les intéresse vraiment: lire des histoires sur Snapchat ou partager des photos avec des citations sur Instagram.

Le schéma bilan

L’Education Nationale est devenue industrielle et impersonnelle dans un monde où le dialogue est revendiqué et où l’échange instantané est au cœur de la société. Les outils numériques, auxquels toutes les entreprises se sont plié, qui ont permis le développement de cet échange, ont été délaissés par notre système éducatif, créant un décalage sans précédent envers les attentes des parents et des élèves. L’Education Nationale parait plus austère que jamais, obligeant les parents à se tourner vers des alternatives qui ne sont pas toujours efficaces.  

La solution Synapse

Les outils numériques ne doivent donc pas et ne peuvent plus être ignorés. Ce serait créer un décalage encore plus grand entre le monde réel et l’éducation… Et donc, créer un déficit dans la responsabilisation et la maturité des élèves. Nous devons comprendre ces outils, les utiliser et rénover l’éducation. Malheureusement, à l’échelle de l’Education Nationale cela demandera du temps. Un temps que notre société ne nous offre plus. Synapse utilise ces outils au coeur de sa méthode, dès maintenant. Notre maîtrise experte, alliée à des cours plus complices avec un nombre d’élèves limité, permettent de faire entrer l’éducation dans le siècle de l’échange instantané et permanent.

Pourquoi nous ne croyons plus aux cours particuliers classiques

L’éducation ne doit pas être une contrainte

La demande en cours particuliers ne cesse de croître en France. L’effet d’un système éducatif mal en point, en décalage avec la société et son époque. Malheureusement, cette alternative peine à apporter des résultats.

Un élève qui prend des cours particuliers montre toujours une progression très intéressante lors des premiers cours, même s’il y était pourtant réticent : c’est un simple effet psychologique. L’élève sait qu’il est face à quelqu’un qui peut lui permettre de reprendre espoir. Aucun élève finalement, n’aime échouer à l’école. Tous ceux qui disent qu’ils n’aiment pas l’école aimeraient pouvoir dire le contraire. Alors, au début ils s’intéressent, ils posent des questions, échangent… Et se mettent même parfois à amplifier leur travail personnel, à suivre en classe pour essayer de comprendre.

Malheureusement, cet élan finit toujours par s’estomper. Les notes se stabilisent. Les progrès sont plus lents. Si vous avez déjà payé des cours particuliers à votre enfant, vous vous en êtes sans doute rendu compte : l’effet dynamique du début s’estompe… mais pourquoi ?

Finalement, à leur échelle, les cours particuliers possèdent les défauts des cours à l’école : ils finissent rapidement par prendre le visage d’une contrainte.

Pour pouvoir comprendre l’apparition de cette contrainte, nous avons repéré 2 grands critères : le critère technique et le critère social. Le critère technique concerne le cours en tant que tel : l’horaire, le contenu, le jour, la régularité. Le critère social concerne l’interaction qui permet de mettre le cours en place et de le rendre vivant : tous les aspects liés à l’échange entre l’élève et le professeur.

Des cours qui ne s’adaptent pas à l’emploi du temps de l’élève

Trop réguliers ou pas assez flexibles, ils s’inscrivent dans une routine et prennent alors l’allure des cours qu’ils ont déjà en classe tous les jours. Après tout, pourquoi prendre des cours de maths si la dernière leçon est comprise ? Ou s’il y a un gros contrôle de français le lendemain ?
Observation de Synapse : Ce n’est pas ainsi que vos enfants sont habitués. Avec le numérique, ils ont l’habitude de l’instantané et de la réponse à la demande.

Des cours trop froids ou impersonnels, sous le signe de l’autorité

Nous sommes dans l’ère des réseaux sociaux, où vos enfants ont l’habitude de bloquer les personnes qui les dérangent mais où ils se livrent facilement aux personnes qu’ils apprécient. Ne nous leurrons pas: ils gèrent le plus souvent leurs relations sociales d’une main de maître. Le prof particulier âgé de trente ans, qui a fait une thèse sur la croissance hyperbolique, ou le prof de soixante ans qui leur parle de la règle de trois ne les met guère à l’aise.
Observation de Synapse : C’est simple : les outils qu’ils aiment utiliser dépendent du numérique. Snapchat, Instagram n’ont déjà plus de secrets pour eux. Il leur faut des professeurs dynamiques, qui sachent leur parler et les comprendre pour qu’ils se sentent écoutés et qu’ils n’aient aucune hésitation au moment de poser leurs questions.

Le manque de suivi au quotidien et de contrôle du travail personnel

Tous les profs particuliers vous le diront : sans travail personnel de la part de l’élève, les cours sont inefficaces. Avec une heure par semaine, ou même trois, on ne peut généralement pas révolutionner les résultats.
Observation de Synapse : Ce qui compte dans l’apprentissage c’est avant tout la régularité. Et pour cela il faut un véritable travail sur la mémoire qu’un prof particulier ne peut pas apporter s’il ne s’investit pas à 100% et au quotidien.

Des lacunes déjà bien installées

Les cours particuliers sont souvent pris en situation d’urgence, bien après les premiers signes de difficulté. Des lacunes sont souvent déjà installées et il est alors bien plus difficile de les corriger que lorsqu’elles viennent d’apparaître. Le niveau d’efficacité des cours décroît de façon exponentielle.
Observation de Synapse : Il faut des cours qui interviennent le plus tôt possible, pour combler les lacunes qui apparaissent progressivement. Dès le collège si possible.

Des cours sans implication directe de l’élève

Communication des résultats, organisation des heures de rendez vous, etc., ce sont souvent les parents qui s’occupent de tout l’aspect organisationnel des cours.
Observation de Synapse : Aidons les élèves à se responsabiliser ! Ils sont souvent bien plus enclins à mener et réussir les choses en échange d’une autonomie quasi totale accordée par leurs parents. De façon générale, ils sont plus à l’aise et à l’écoute lorsque quelqu’un d’extérieur intervient plutôt que papa et maman.

Le schéma bilan

Les cours inadaptés et impersonnels transforment inévitablement en contraintes. Ils prennent alors le visage des cours qu’ils ont l’habitude de faire tous les jours et s’inscrivent dans une routine lourde qui ne crée pas un cadre propice à l’échange et à l’envie d’apprendre.

La solution Synapse

Les cours particuliers doivent aider les élèves et ne pas être un poids pour eux. Il faut de la modularité. De la flexibilité pour miser sur la régularité plutôt que sur la quantité. Il doit y avoir de la complicité avec le professeur pour permettre de délier le dialogue qui est crucial pour établir des relations propices à la transmission du savoir et développer l’échange qui est au cœur de l’éducation.
C’est la raison d’être de Synapse

Répondre aux enjeux de notre époque !

Des parents bien occupés…

Nous avons une grande expérience des cours particuliers et, même s’il s’agit toujours de venir en aide à des élèves, il s’agit aussi souvent de venir en aide à des parents. Des parents qui peuvent se sentir dépassés, désabusés, abandonnés.

Les parents vivent au cœur de l’évolution de notre société : ils en sont eux même les victimes. Ils rentrent tard du travail le soir ou, de façon plus générale, n’ont plus toujours le temps ou l’énergie à consacrer aux devoirs, d’autant plus lorsque ces derniers prennent l’allure d’un véritable champ de bataille.

A partir d’un certain niveau, ils peuvent aussi se sentir dépassés par le niveau de scolarité de leurs enfants, ou être découragés par l’aide qu’ils leur apportent et qu’ils jugent contre-productive. Les programmes sans cesse changeant n’aident pas. Cela rend la phase des devoirs encore plus périlleuse !

Les devoirs : plus contraignants que jamais

Par la contrainte de temps qu’ils imposent et l’archaïsme de leurs méthodes, les devoirs sont bien moins adaptés à notre temps. Parfois, il n’est même pas question de temps ou de compétences. C’est le modèle même des devoirs qui n’est plus adapté. Il n’est d’ailleurs efficace qu’avec les élèves autonomes ou ceux pour qui les parents consacrent plusieurs heures chaque soir ! Ce qui peut très vite faire apparaître des tensions…

Petite anecdote de l’équipe…

“Les devoirs ressemblent à un champ de bataille ?”

Jean et Nicolas gardent des souvenirs bien particuliers des séances de devoirs de leur petit frère avec leur maman. Cette dernière rentrait tard et devait passer une heure tous les soirs face à un fils qui ne faisait rien pour rendre l’expérience plus douce. Les cris volaient dans tous les sens, les cahiers aussi… Et cela pesait énormément dans l’ambiance du foyer. Et ce n’est pas un cas isolé !

Une aide extérieure toujours plus efficace

Vous vous êtes peut-être rendus compte de la différence de comportement de vos enfants lorsqu’ils sont en famille et lorsqu’ils sont avec des inconnus. Généralement, ils réservent un régime “vie dure” uniquement à papa et maman.

Nous avons eu des dizaines de retours en ce sens en tant que professeurs particuliers: “vous il vous écoute”, “vous il suit vos conseils”.

Les élèves ont en effet tendance à être bien plus conciliants et attentifs lorsque quelqu’un d’extérieur, qui ne représente pas l’autorité à laquelle ils ont l’impression de devoir se soumettre déjà au quotidien, essaye de leur venir en aide.

La perte d’ambition

Aujourd’hui nous faisons face à un fléau : les nouvelles générations ont de plus en plus de mal à envisager leur avenir. Elles ne parviennent pas à se projeter, à croire en leurs rêves… Lorsqu’ils existent encore. 

C’est peut-être notre société qui rend les choses ainsi, avec aussi ce dénigrement permanent du succès et de ceux qui réussissent qui mène finalement au dénigrement du combat et des tentatives

Chez Synapse, nous sommes effarés devant cette réification de la vie et du challenge. Synapse vise à rappeler aux jeunes collégiens et lycéens qu’ils ont le pouvoir sur leur avenir. Leur montrer qu’ils ont la faculté de changer les choses et que c’est un beau combat. Bien plus glorifiant que de rester devant sa console ou devant ses séries. 

Petite anecdote de l’équipe…

“Lorsque jouer aux jeux vidéo devient même trop fatiguant !”

Lors des dernières vacances d’été, le petit frère de Jean et Nicolas a révélé l’activité à la mode au sein des nouvelles générations de collégiens/lycéens : ne rien faire ! La mode n’est même plus de jouer à la console elle est de regarder d’autres le faire pour nous sur Youtube ! La mode c’est regarder et commenter, ce n’est plus agir… Même sur des choses pourtant aussi distrayantes que les jeux vidéos. Aberrant… Mais malheureusement ce n’est sans doute que le début !

La solution Synapse

Nous pensons que le temps et l’énergie qui se raréfient devraient être consacrés à d’autres activités plutôt qu’aux devoirs. Ils sont sources de tension et tendent à rendre la période de l’adolescence encore plus difficile à vivre à la maison. Synapse intervient pour libérer du temps aux parents et qu’ils le consacrent à d’autres activités avec leurs enfants… Ce qui a très souvent un effet sur l’ambiance du foyer !

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Synapse ne révolutionne pas simplement les cours particuliers. Synapse révolutionne l’éducation. Découvrez la méthode qui répond point par point à tous les problèmes soulignés sur cette page.

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